vendredi 27 novembre 2009

Relations commerciales entre la France et la Corée du Sud

Auteur: Angela Hoerner

I.) Introduction

« La qualité de vos relations est aussi importante que celle de vos produits ou de votre technologie » puis-t-on lire concernant les relations franco-coréennes sur le site de la chambre franco asiatique. Cela parait évident; cependant des écarts culturels étonnantes séparent les pays occidentaux de la Corée du Sud qui méritent être étudiés de plus près si l’on veut établir des relations avec ce pays émergeant qui joue un rôle de plus en plus important sur la scène internationale.
Afin de définir ces différences culturelles, le chercheur néerlandais Gerd Hors texte est une référence incontournable. Selon l’article « l’art de l’entreprise globale » Hofstede propose une grille culturelle établissant cinq facteurs essentiels qui mettent en exergue les différences culturelles ressenties par exemple entre la France et la Corée du Sud. L’article « l’influence du confucianisme sur les sociétés » étudie de plus près les sociétés asiatiques en utilisant également l’étude de Hofstede.

II.) La vision du temps en Corée du Sud
Afin de définir les différences culturelles, il faut aussi prendre en considération que en Corée du Sud la vision du temps est différent. Le credo américain « time is money » peut s’avérer comme peu pertinent en Corée du Sud. Concernant les négociations, c’est parfois tout le contraire. Les Coréens pensent que plus les relations commerciales sont bonnes (et cela peut prendre du temps d’établir des bonnes relations !) plus l’avenir de ces relations sera prometteur.
D’après Marketing International Chapitre 9.htmcela s’explique par le fait que l’orientation temporelle est régie par le polychronisme c'est-à-dire que les sud-coréens trouvent naturel de faire plusieurs choses à la fois contrairement aux occidentaux régie par le monochronisme c'est-à-dire on essaye de ne faire qu’une chose à la fois. Le polychronisme comprend une programmation flexible du temps. Le temps est subordonné à l’activité tandis que dans les pays où règne le monochronisme c’est l’activité qui est subordonné au temps. Contrairement à l’orientation temporelle monochrome, dont le rythme de travail est mesuré et soutenu, le polychronisme comprend un travail intense mais moins régulier.
L’orientation temporelle monochrome a le plus souvent pour conséquence une communication au contexte pauvre tandis que l’orientation temporelle polychrome est enrichi par une bonne communication, les individus se sentant liés par les relations. Jean Coucteau souligne dans son article « Affaires et culture » (source déjà cité) que « ce n’est pas en trois ans que l’on peut établir des relations valables en Asie ».Il parait qu’il faut un minimum de cinq ans pour établir des bonnes relations avec les sud-coréens.

III.) La religion
Histoire
Le bouddhisme a été adopté en Corée au début du Vie siècle. Il fusionnait avec le chamanisme, la réligion primitive du pays. Le confucianisme, lui, a été introduit avec la propagation des différents idéogrammes chinois. Il a été légitimé en tant qu’étique morale lorsque la Corée était unifié pour la première fois, en 668. Après avoir coexisté pendant six siècles, le bouddhisme et le confucianisme sont entrés en conflit pour la première fois avec l’introduction du neo-confucianisme chinois au XIIème siècle car les lettres,hommes religieux s’abondant à la lecture des écrits confucéens, commençaient à réexaminer et à critiquer le bouddhisme.
Définition du confucianisme
L’éthique confucéenne a pour base une société très hiérarchisée, chaque individu devant se conduire en accord avec son statut social. Trois principes régissent la conduite des individus:- le principe de pouvoir (vis à vis de son roi)- le principe de loyauté (envers les autres individus)- le principe de respect (à l’égard des aînés, des hommes, des parents)Chaque rôle dans la société entraîne des responsabilités et des devoirs spécifiques, les bourgeois roturiers ayant par exemple pour mission de travailler dur et les lettrés d’étudier les écrits confucéens. Le fait que les lettrés ne devaient pas entreprendre des activités manuelles a pour longtemps empêché le développement des techniques et des sciences.Sources :http://encyclopedie.snyke.com/articles/confucianisme.htmlLA CORÉE TRADITIONNELLE : L'INFLUENCE DU BOUDDHISME ET DU CONFUCIANISME DANS LA SOCIÉTÉ CORÉENNEIV.)
L’actualité sud-coréenne sous l’aspect de trois dimensions de Hofstede
Geert Hofstede, professeur et chercheur néerlandais dans plusieurs institutions européennes(lIMD, l’INSEAD, l’ESEAM, l’IIASA) a passé environ vingt ans à faire une étude avec le but de définir les différences culturelles. Premièrement il a établie cinq dimensions définissant l’identité culturelle d’un pays : L’orientation temporelle, le contrôle de l’incertitude,la distance par rapport au pouvoir,la dimension masculinité/féminité ainsi que Individualisme/Collectivisme. Deuxièmement, il a attribué à chaque pays des scores qui décrivent la quantité présente dans les pays de chacune de ces dimensions.Concernant la Corée du Sud, trois facteurs de Hofstede me semblent les plus importants à être examinés :

1.) Collectivisme/Individualisme
Selon ces deux sources, c’est en premier lieu le facteur Individualisme /Collectivisme qui fait la différence. Ce facteur décrit le degré de dépendance entre les membres d’une société. Les sociétés communautaires privilégient le temps passé pour le groupe tandis que les sociétés individualistes celui passé pour leur vie personnelle. D’après l’étude de hofstede, les pays asiatiques sont davantage du coté des sociétés communautaires. Cela s’explique en grande partie par l’influence du confucianisme favorisant plutôt l’intérêt du groupe que celui de l’individu. Dans une culture collectiviste, l’individu essaie avant tout de s’adapter harmonieusement à son groupe de référence. Les relations dans une entreprise par exemple se font sur une base morale dans les sociétés communautaires tandis qu’elles se nouent d’un calcul personnel dans les sociétés individualistes.On peut comparer les liens des membres d’une société communautaire à ceux qui existent entre un enfant et sa famille.
Le confucianisme très présent en Corée du sud favorise l’intérêt du groupe plutôt que l’intérêt personnel qui, lui, appartient aux sociétés individualistes. La Corée du Sud est donc une société à forte tendance collectiviste contrairement aux sociétés occidentales. La fidélité dans les relations commerciales ainsi que l’identité d’une entreprise, à laquelle les individus cherchent à correspondre coûte que coûte jouent donc un rôle majeur en Corée du Sud. Source: différences culturelles dans le management
La forte dimension collectiviste doit également être prise en considération si l’on veut établir des relations commerciales avec un pays comme le Corée : Avant de parles affaires il faut déjà avoir établi des bonnes relations. Les conflits sont réglés de manière très différente dans les sociétés individualistes et les sociétés communautaristes : les sociétés individualistes pensent que le conflit peut être nécessaire voire utile tandis que les sociétés communautaires veulent avant tout maintenir l’harmonie afin de ne pas risquer qu’un des membres du groupe « perde sa face ».
Dans l’article « Affaires et Culture » après avoir rappelé que la vision du temps est différente en Corée Jean Coucteau met l’accent sur l’importance des relations. « Le Coréen ne dit jamais non » souligne t’il afin de »ne pas froisser son interlocuteur ». Mais le oui du partenaire commercial ne veut pas forcement dire qu’il est d’accord. Jean Coucteau insiste sur l’importance d’établir des mémos pour clarifier la situation. Ensuite,il recommande d’établir des relations de confiance en passant du temps régulièrement en Corée du Sud afin de « faire partie de la famille ».Cet objectif peut également être atteint,toujours selon Coucteau, en faisant des petites attentions, comme des cadeaux ou des invitations à des soirées.
En conclusion, la dimension communautaire défini par Hofstede est très présente en Corée du Sud.
2.) Distance par rapport au pouvoir
Il convient également d’étudier un deuxième facteur : La distance par rapport au pouvoir. Ce facteur défini jusqu’à quel point les individus dans une société acceptent la distribution inégale du pouvoir dans un pays. Le respect des niveaux hiérarchiques fait partie de l’enseignement du confucianisme et la distance par rapport au pouvoir est donc élevée en Corée car les sud-coréens pensent que chaque individu naît au milieu de relations prédéterminées et doit accomplir les devoirs de sa position dans l’hiérarchie. Les pays avec une grande distance par rapport au pouvoir ne remettent pas en cause ni critiquent les autorités, s’agit-il de l’Etat des organisations, de l’école. Par conséquent, l’Etat et l’éducation nationale exercent une influence incontestée et incontestable en Corée du Sud.
A titre d’exemple, selon l’article « Les accents nationalistes en Corée du Sud » le pouvoir représenté ici par les médias ainsi que par l’éducation nationale a fait croire pendant longtemps aux Coréens que la Corée du Sud était devenu l’une des plus grandes nations du monde.Cet article fait également référence à la crise financière, au fait que la population « aveuglée par la rhétorique »avait cru à la fiabilité totale de l’économie nationale ainsi qu’à « l’obligation d’en profiter ».Le miracle coréen peut également être expliqué par cette forte hiérarchie dans la société, de laquelle le gouvernement profitait se faisant allié des dirigeants des chabeols. Le gouvernement jouait un rôle considérable dans « la libération des énergies créatrices de la population » http://www.unesco.org/most en donnant aux chabols la mission de moteur de croissance économique et en comptant sur l’esprit d’abnégation et de sobriété de la population.
En 45 ans, la situation de la Corée du Sud n’a cessé de s’ameilloirer avec une population qui avait fait des sacrifices énormes tout en étant motivé et en acceptant des salaires bas. D’après cette source, la rigidité des liens de fidélité faisant partie des valeurs du confucianisme a crée une dépendance de l’Etat face auquel la population avait un fort sentiment de devoir national.
La brutalité de la crise financière en 1998 a eu un impact extrêmement dur sur la société sud coréenne : Les chaebols étaient obligés de se séparer de sociétés avec lesquelles elles avaient des forts liens de fidélité.D’après l’article “ Economic prospects and macroeconomic policies ” http://www.oecd.org/ le pouvoir des syndicales est encore très limité bien que les organisations syndicales soient très engagées. Concernant des institutions fortes garantissant la démocratie,M ;Yoon Young-mo, secrétaire international de la confédération coréenne des syndicats(KCTU)déclare que »…de ce coté-là, rien ne bouge avant que le président ait parlé ».Un président donc qui parait être sure de pouvoir prendre seul les décisions.
Ils existent des chiffres contradictoires concernant le chomage. Officiellement, il aurait atteint 1,49 million de personnes alors que les syndicats déclarent qu’il s’agirait en fait de 4 million de chômeurs.En conclusion de la dimension de la distance par rapport au pouvoir, selon les articles étudiés la société sud-coréenne est encore très fortement hiérarchisée ce qui se montre dans le pouvoir considérable du président ; Cependant, les personnes »en bas de la hiérarchie »comme les travailleurs commencent à se doter d’un certain pouvoir représenté par des organisations syndicales fortes.
3.) Masculinité/féminité
Dans une société avec une forte dimension masculine, l’homme doit montrer qu’il est le plus fort, s’imposer et travailler pour faire vivre sa famille. La femme doit être sensible, s’occuper du foyer et garder les enfants. La féminité décrit une société dans laquelle les rôles des sexes sont interchangeables c'est-à-dire que l’homme aussi doit se montrer sensible et assurer la qualité de vie de la famille .La femme, elle, dans une société féminine, travaillera tout comme son époux. Selon l’étude de Hofstede, les pays asiatiques sont davantage masculins les femmes doivent donc s’occuper du travail domestique; D’où une forte incompréhension face aux femmes qui travaillent.
L’article « Corée du Sud : travaille et tais-toi »... démontre que les femmes sud-coréennes n’ont pas les mêmes droits au travail que les hommes.Selon cet article la Korean Women Workers Association United (KWWAU) regroupant six associations régionales de femmes, les femmes sud-coréennes dénoncent des retards de paiement, de licenciements abusifs voire d’abus sexuels et de discrimination sexuelle. La KW WAU réclame plus de droits pour les femmes comme aune ameilloiration de la couverture sociale en cas de maternité ou la stabilité dans les contrats de travail des femmes.L’initiative commence à porter ses fruits : la construction de crèches proches des lieux de travail ainsi que l’ouverture de garderies d’enfants dans les hôpitaux, les banques et d’autres entreprises.Selon un article publié dans l’étude économique sur la Corée http://www.oecd.org/ les femmes n’ont « ni salaire minimum, ni horaire maximal ».
L’article « une école électorale pour les coréennes » témoigne que le monde des affaires est surtout masculin. La fondatrice du centre pour les femmes coréennes et la politique (CKWP) Song Bong-Scuk souligne que le système de valeurs asiatiques interdit aux femmes d’intervenir en politique. Le CKWP a aidé les femmes à faire évoluer cette opinion en leur accordant plus de pouvoir da, s la politique. D’après les statistiques d’une étude de l’OCDE http://www.oecd.org/ le taux de fécondité des femmes a diminué de 1.60 à 1.17 entre 1990 et 2002 ce qui peut indiquer que les femmes ont à l’heure actuelle plus de temps pour étudier et travailler.
D’après le dossier « les différences culturelles dans le management »5.2 la dimension masculinité/féminité concerne également les choix politiques fait par les hommes politiques et les citoyens d’un pays. Si ces choix sont plutôt orientés vers la croissance économique, il s’agit d’une société masculine tandis que si ces choix prennent en compte la protection de l’environnement, il s’agit d’une société avec une dimension féminine. Le fait que la croissance économique avait été pendant longtemps la priorité absolue en Corée du Sud souligne les valeurs masculines de cette société asiatique.
L’article « Choi Yul, l’homme d’acier des Verts sud-coréens » montre cependant que les mentalités sont en train de changer. Il s’agit d’un entretien avec Choi Yul. Fondateur de la première ONG environnementaliste de la Corée du Sud en 1982 et fondateur de la fédération coréenne pour un mouvement écologiste (FCME) réunissant plus de 85000 membres, Coi Yul a obtenu le prix mondial du programme des Nations Unies pour l’environnement. Il parle des conséquences du « miracle Coréen » notamment de l’impact désastreux sur l’environnement des émissions de carbone. La forte pollution de l’atmosphère d’origine industrielle ayant entraîné des pluies acides l’eau devenait impropre à la consommation. Son association a pour objectif de développer les énergies renouvelables qui présente moins de 1% des ressources d’énergie en Corée du Sud. La FCME dénonce que les 16 centrales nucléaires du pays ont connu des problèmes techniques provoquant des fuites radioactives. La FCME est arrivé à mobiliser la population en organisant des manifestations contre le dépôt de déchets nucléaires sur l’île de Gulup que le gouvernement avait essayé de passer sous silence. Cette initiative ayant obtenu du succès la FCME a déjà inauguré un centre d’éducation environnementale pour former des étudiants et continuer à encourager les citoyens à participer à des campagnes environnementales.L’article de la Commission du développement durable fil://\\srvbibweb\Exploitation chargé de l’application de l’action 21 démontre également que la conférence ministérielle de la CESAP (Commission économique et sociale de l’Asie et Pacifique) sur l’environnement tenu à Séoul a insisté sur les moyens à mettre en œuvre afin de garantir une croissance économique dans le respect de l’environnement.
En conclusion de la dimension masculinité/féminité, on peut noter que la Corée du Sud a une forte dimension de masculinité : Il existe une forte incompréhension face aux femmes qui travaillent ou qui sont active dans la vie politique. Cependant, la dimension de féminité dans une société définissant la sensibilité face à l’environnement naturel commence à devenir plus importante. La société est en train de prendre compte de l’importance de la protection de l’environnement.
V.) Conclusion
Après avoir examiné la vision du temps, la religion et trois dimensions de Hofstede, on peut noter que la société sud-coréenne représente une identité culturelle très différente de la notre. Cependant, de plus en plus d’étudiants sud –coréens font leurs études à l’étranger voir : « diplômes aux enchères » ce qui va probablement mener à une meilleure compréhension des différences culturelles. D’autant plus que, d’après l’article « Pas d’expansion à long terme sans recours à l’immigration »la croissance démographique entraînera la nécessité d’immigrés en Corée du Sud, ce qui va renforcer l’échange culturel. Reste à savoir si l’échange culturel mène à un effacement des différences culturelles et donc à un appauvrissement ou, dans les meilleurs des cas, à un enrichissement mutuel.

Motivation concernant mon blog
Auteur: Angela Hoerner

Je me suis intéressé au sujet de la Corée du Sud car ce pays émergent est souvent cité comme exemple d’un pays qui a pu sortir de la pauvreté graçe à une croissance économique considérable. On parle avec admiration du « miracle coréen ». Après avoir lu quelques articles, je me suis aperçue de plus en plus des écarts culturels étonnants qui séparent les pays occidentaux de la Corée du sud. Dans les articles étudiés, il était souvent question de la rigidité des liens de fidélité, des valeurs du confucianisme ou du rôle très diminué des syndicats en Corée du sud. Par conséquent, afin de réellement comprendre l’actualité sud coréenne ainsi que sa croissance économique, il m’a paru nécessaire de traiter une question de société. Si l’on comprend les valeurs fondamentales d’une société, il est beaucoup plus facile de comprendre son actualité. Le chercheur néerlandais Gert Hofstede me paraît une bonne référence afin de comprendre une culture, car il a fait des recherches dans ce domaine pendant plus que vingt ans, je le cite donc assez souvent sur mon site. Bien qu’étant très complet, mon site ne comporte sûrement pas toute l’information nécessaire à réellement comprendre une société asiatique, c’est pour cela que je l’ai intitulé »différents aspects de la société sud-coréenne »suggérant qu’ils en existent bien d’autres aspects. Concernant le contenu de mon site, il ne s’agissait en aucun cas de défendre un avis ou une vision politique. J’ai essayé d’utiliser des sources très variées, comme par exemple la chambre franco-asiatique traitant plutôt les aspects économiques ou l’UNESCO étant plus orienté vers l’humanitaire. Il s’agit d’une étude de société peut-être pas toujours objective mais dont le premier but est de donner de l’information. En ce qui concerne la création de mon blog, j’aimerais d’abord préciser que je n’avais pas beaucoup de notions d’informatique avant de le commencer, car je n’ai pas été à la Sorbonne l’année dernière. En travaillant seule et avec des amies je suis parvenue à acquérir les connaissances nécessaires. J’ai crée une alerte Google utilisant les termes de recherche »Corée du sud. Le courrier que j’ai reçu tous les jours dans ma boite e-mail portaient sur des sujets aussi éloignés de ma question que l’Afrique du Sud ou les échanges entre le Canada et la Corée du Sud…Il fallait donc faire un grand tri d’information ! En plus, il manquait souvent l’adresse du site exacte des articles choisis, il fallait donc la chercher afin de pouvoir créer un lien avec mon site. Finalement, j’ai trouvé environ 20 liens qui semblait convenir à l’objectif de mon site. Les sites me semblent intéressants car généralement ils sont très bien faits et le contenu est de bonne qualité. J’ai également essayé de faire attention aux sources d’information en n’utilisant que des sources qui me semblaient entre de bonne qualité comme le site du monde diplomatique ou celui de la chambre franco-asiatique…cependant quelques sources sont de qualité un peu moins bonne, je les ai cité quand même si elles correspondaient bien aux objectifs de mon blog. J’ai décidé d’inclure les liens dans mon texte au lieu de les placer à coté ou à la fin du texte.

Une image positive de l'âge en Corée du sud


Senior et bien-être
En Corée du sud, des mamies pratiquent le taekwondo deux heures par jour
A 50 kilomètres de Séoul en Corée du sud, dans la ville d’Incheon, un groupe d’une vingtaine de grands-mères âgées de 60 à 75 ans a réussi à faire évoluer l’image de la vieillesse et du taekwondo, en pratiquant cet art martial ancestral deux heures par jours six fois par semaine, indique un récent article de Donga.com.

Le symbole "yin-yang" du drapeau sud-coréen

Ce symbole représente “l'Oeuf cosmique” renfermant le germe d'où sortira toute la manifestation du Monde cosmique. À commencer par la polarité fondamentale entre les aspects céleste (rouge) et terrestre (bleu), entre ce que la tradition chinoise dénomme le Ciel et la Terre, les principes igné et humide et, de manière plus générale, le yang et le yin. Le yang est associé à la lumière, à la clarté, au principe actif ou au Ciel; le yin est relié au côté sombre, à l'obscurité, au principe passif ou à la Terre.
Porteur de toutes les oppositions et complémentarités propres au monde manifesté, le symbole yin-yang représente ici l'union des deux principes indissociables du yang et du yin ou “l'Unité Primordiale” (Tai-ki), le Principe Premier à l'origine de toute manifestation.
Le fait que le yin précède habituellement le yang dans la dénomination du symbole signifie simplement que l'être humain vit ses états terrestres (yin) avant de re-découvrir son état spirituel ou céleste (yang).

source: users.skynet.be/lotus/flag/cor0-fr.htm



Une vidéo pour se mettre dans l'ambiance sud-coréenne

fleur nationale coréenne




Fleur nationale
La fleur nationale coréenne est le mugunghwa (ou rose de Sharon). Chaque année, de juillet à octobre, le pays se pare de milliers de mugunghwa en fleur. Contrairement à la plupart des autres fleurs, le mugunghwa est remarquablement robuste et peut à la fois résister aux parasites et aux insectes. La signification symbolique de cette fleur vient du mot coréen mugung qui signifie « immortalité ». Ce terme reflète avec justesse le caractère endurant de la culture coréenne et la persévérance du peuple coréen.